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Port Gentil/Bail : Amalgame autour du loyer du Samu Social.

Depuis quelque temps l’administration sanitaire du Samu Social – antenne de Port Gentil – vit un véritable acharnement sélectif consécutif à la pression du propriétaire des locaux occupés par la structure de santé de proximité dans la capitale économique du Gabon, à tel point que cela constituerait désormais un déni de réalité qui présente le Samu Social comme étant un mauvais payeur, dont les sommes dues s’élèveraient à 102 millions de francs cfa soit cinq années d’impayés.

Aux dernières nouvelles et selon des sources concordantes, cette situation incompréhensible serait plutôt imputable à la lenteur administrative de l’État en ce qui concerne la gestion des baux administratifs par la Direction générale du patrimoine de l’État (DGPE).

Dans un contexte de restauration des valeurs, il existe désormais une chaîne de celles-ci visant l’orthodoxie dans la gestion des finances publiques, indique-on par ailleurs.

Le Samu Social et son comité de gestion ne seraient donc pas tenus pour comptables de la situation précisent les mêmes sources. Qui entrevoient plutôt une tentative de déstabilisation dans la capitale économique du Gabon, les  actions sanitaires et d’assistance sociale gratuites des gabonais à revenus moyens ou inexistant sont perceptibles. Selon des sources proches du dossier, l’affaire serait transférée aux services de la task force via les directions générales du patrimoine de l’État et de la dette dans le cadre de la dette intérieure de l’État.

L’on s’interroge d’ailleurs autour de la désinformation faite autour du dossier à des fins de nuisance dont le Samu Social et bien d’autres services publics ne serait que des victimes collatérales de l’incurie de l’État sous l’ancien régime. Qui dans son existence farandole n’a pas doté ses services de locaux. Faisant d’eux d’éternels locataires. Le Comité de transition pour la restauration des institutions (CTRI) aujourd’hui au pouvoir a pour mission de restaurer l’image écorner.

Cette affaire soulève à nouveau la sempiternelle problématique des services de l’État qui sont locataires chez des tiers.

Thierry Mocktar (la rédaction (074917387)

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