Avec l’ancien parti au pouvoir, on ne s’ennuie pas de ses tragi-comédies et autres psychodrames. Après le fameux réaménagement initié début mars dernier avec un bureau provisoire, la sérénité n’est pas au rendez-vous. 

Les réactions face à ce que d’autres camarades pensent être une entourloupes n’en finissent pas. Avec la démission du 2ème vice-président Alain-Claude Bilie-By-Nze on pensait que ce n’était qu’un non-événement, mais on se rend compte que les fondations de ce bureau provisoire tenaient.

Malheureusement, devant tout le tintamarre de cet organigramme contesté par plus d’un camarade, on apprend que le secrétaire général intérimaire que l’on pensait mis au silence, Luc Oyoubi, a tenu à prendre la parole ce samedi 13 avril pour donner la position sur cette situation ubuesque. Malheureusement, pour raison de calendrier chargé, cette prise de parole a été renvoyée sine die.

Ce qui veut dire que la crise perdure au sein du PDG. Et que l’implosion est à l’horizon avec toute cette situation qui ressemble à la fin d’un parti en eaux troubles. Un parti en putréfaction diront les observateurs les plus pointus.

Kevin-aymard Lelengui

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Libreville le 03 Avril 2024 Initialement prévus pour démarrer le 03 avril , les travaux du Dialogue National Inclusif débuteront finalement dans sa phase effective le 08 Avril prochain . Malgré quelques couacs , dus éventuellement à l’impréparation , je tiens à féliciter les différents intervenants qui ont animé la cérémonie d’ouverture de cette rencontre .

Mes félicitations vont d’abord à l’endroit du Président de la Transition , qui s’est engagé à doter le pays d’une nouvelle Constitution et des textes de Loi devant favoriser l’organisation des élections libres et transparentes . Je félicite aussi l’archevêque de Libreville , qui , à travers ce dialogue rêve «  d’un Gabon digne d’envie » . Et enfin mes félicitations sont adressées au Président TOUADERA , Président en exercice de la CEMAC et facilitateur de la CEEAC , qui a tenu à exprimer au monde entier «  la soif de démocratie  du peuple gabonais » mais aussi à fixer le cap de la Transition , qui doit respecter la durée fixée ( 24 mois ) et se terminer par un retour à l’ordre Constitutionnel , non sans rappeler que «  l’homme qui détient le Pouvoir ne doit pas être jugé par ses paroles mais pas ses actes ».

Ces différentes interventions peuvent susciter l’espoir à première vue , mais l’histoire de l’humanité nous enseigne que les memes causes produisent toujours les memes effets . Aussi , il me parait difficile , d’aboutir à l’avènement d’un «  Gabon digne d’envie » et à l’organisation «  des élections libres et transparentes », si nous ne prenons pas le courage de : Dessiner les contours d’une Commission Vérité , Justice , Pardon et Réconciliation chargée de solder notre lourd passif d’injustice , de violence , d’exclusion , de peurs , d’abus et d’ indemniser les victimes; Définir de façon objective et courageuse le rôle des forces défense et de sécurité dans notre dispositif Démocratique.

J’invite les organisateurs de ce dialogue à réfléchir sur ces deux aspects au risque d’organiser un dialogue de plus .

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Le Délégué du 4ème Arrondissement de la Commune de Libreville, Axel Jesson AYENOUE, a récemment effectué un déplacement à l’école publique d’Akebe2, après avoir été alerté des conditions salubrité de l’école publique d’akebe2 le délégué lui même à effectuer le déplacement. L’objectif de cette visite était d’évaluer les conditions dans lesquelles les enfants étudient, notamment en termes d’hygiène et de salubrité.

Dès son arrivée, le Délégué Spécial a été frappé par l’état avancé de délabrement de l’école. Les salles de classe étaient dans un état de saleté alarmant, et les installations sanitaires étaient vétustes et insalubres. Conscient de l’importance d’un environnement sain pour le bien-être et la santé des élèves, le Délégué Spécial a décidé d’agir rapidement.

Avec le soutien du maire et de sa délégation, une journée de nettoyage a été organisée le vendredi suivant. Les fonds nécessaires ont été alloués pour l’achat de matériel de nettoyage et pour mobiliser des volontaires. Ensemble, ils ont consacré la journée à nettoyer et à réhabiliter l’école, dans le but d’offrir aux élèves un environnement plus propice à l’apprentissage.

Cette initiative a été saluée par la communauté locale, qui a vu en elle un geste concret en faveur de l’éducation et du bien-être des enfants. Le Délégué Spécial Axel Jesson AYENOUE a souligné l’importance de la mobilisation citoyenne et de l’engagement des autorités locales pour améliorer les conditions de vie des habitants.

Cette action témoigne de la volonté des autorités locales de s’investir pleinement dans le développement de leur communauté, en plaçant l’éducation et la santé des enfants au cœur de leurs priorités. Elle rappelle également l’importance de la solidarité et de l’entraide pour surmonter les défis auxquels sont confrontés les quartiers défavorisés de Libreville.

En conclusion, le déplacement du Délégué Spécial Axel Jesson AYENOUE à l’école publique d’Akebe2 et l’initiative de nettoyage qui en a découlé illustrent l’importance de l’action locale dans l’amélioration des conditions de vie des populations. Ces actions concrètes contribuent à renforcer le lien entre les autorités et les citoyens, et à promouvoir un environnement propice à l’éducation et au développement de la jeunesse gabonaise.

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Décidément il ne fait plus bon vivre au Parti Démocratique Gabonais (PDG). Le navire a définitivement coulé. L’Ancien ministre de la Jeunesse et des Sports, Franck Nguema avait quasiment attendu la dernière minute pour acter son adhésion au Parti Démocratique Gabonais, prenant le soin de bien réfléchir sur ses propres convictions et celles du parti de masses. Dans cette optique, en juin 2023, l’ancien honorable Député du deuxième arrondissement de la commune d’Akanda avait été élu membre du bureau politique afin d’y être le fer de lance du PDG en prélude aux élections générales d’août 2023 dont les résultats ont été annulés suite au Coup d’État militaire le 30 août 2023.

Si nombreux l’ont découvert en sa qualité de Ministre de la République, il est à noter que Franck Nguema en tant que Candidat indépendant, avait réussi en 2018 à battre à plate couture le candidat de son ancien parti Joseph Minko Olenga et celui de l’opposition radicale de l’UN-RHM Jean Gaspard Ntoutoume Ayi lors des législatives. Preuve que l’homme devenu une grosse pointure de la politique dans la commune d’Akanda, n’avait pas attendu d’être au PDG pour démontrer sa détermination et sa volonté à participer à l’amélioration des conditions de vie de ses compatriotes et des Akandais en particuliers entre autres par son programme massif d’aides aux activités génératrices de revenues (AGR).

 « Après plusieurs mois d’observation et de réflexion, par la présente, je viens démissionner du Parti démocratique gabonais (PDG), pour des raisons personnelles », a souligné Franck Nguema dans sa lettre de démission adressée au Secrétaire Général du Parti Démocratique Gabonais Angélique Ngoma. L’ancien Député n’avait réellement aucun attachement ancré au sein du PDG où il n’aura fait que 9 mois de militantisme. En évitant tout tapage médiatique autour de cette démission, Franck Nguema se met-il définitivement en marge de la politique ou plutôt prépare- t-il un retour politique fracassant comme l’homme sait le faire en fin stratège reconnu ? Wait and see. L’avenir nous le dira.

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Il est fascinant de constater la proximité et l’engagement de l’Honorable députée de la Transition Justine Judith Lekogo dans sont cadre politique, en l’occurrence le deuxième arrondissement de la commune de Franceville. Les chefs de quartier, les femmes et les jeunes de la région ont répondu positivement à son appel, se rassemblant chez elle, dans le quartier Dialogue du côté des hibiscus, pour discuter de divers sujets clés.

Lors de cette rencontre, les échanges ont porté sur plusieurs thèmes importants, soulignant l’importance du dialogue et de la collaboration entre la députée et sa basse politique . Parmi les sujets abordés figuraient le compte rendu parlementaire, le bilan du CTRI sur les 7 mois écoulés depuis l’arrivée des militaires au pouvoir, le dialogue national, ainsi que l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes de la commune de Franceville. Cette diversité de sujets montre la volonté de Justine Judith Lekogo de prendre en compte les préoccupations et les besoins de sa circonscription.

Cette réunion témoigne de l’engagement de l’Honorable Justine Judith Lekogo à partager sa vision et à s’impliquer activement dans le processus de transition en cours. En travaillant en étroite collaboration avec sa communauté, elle renforce les liens entre les différents acteurs locaux et favorise la participation citoyenne dans les décisions politiques et les initiatives de développement. Son soutien à l’accompagnement de la Transition, en harmonie avec la vision du CTRI, démontre sa volonté de contribuer à la construction d’un avenir meilleur pour sa localité et le Gabon dans son ensemble.

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La jeunesse gabonaise qui entend faire parler sa partition, lors du « Dialogue national inclusif », est déjà à fond dans les préparatifs de cette grande messe républicaine, qui est un rendez-vous incontournable à ne pas manquer. La jeunesse, fer de lance de la nation, car pourvoyeuse des générations futures, pour le développement du pays, ne tient pas à se présenter cette concertation nationale les bras ballants. La jeunesse ne veut plus être spectatrice, plutôt actrice, dans la bonne marche du pays, qui aborde cette transition, où elle refuse donc de faire dans la figuration.

Les préparatifs de la jeunesse gabonaise vont bon train. Elle se réunit et s’organise. Elle est prête à faire entendre sa voix. Raison pour laquelle, à travers elle tient à fédérer tout ce qui a trait aux jeunes, pour une union des cœurs, à travers la Force patriotique du Gabon (FPG), dans laquelle, sont encartées plusieurs associations des jeunes.

La FPG a tenu récemment une convention citoyenne de la jeunesse, pour préparer ce qu’elle livrera au « Dialogue national inclusif ». « (…). Ce que nous, jeunes du Gabon, aspirant à prendre en main la gestion de notre pays, devons savoir, c’est que notre attitude quotidienne envers les générations précédentes conditionne la manière dont elles nous perçoivent. En d’autres termes, leur regard sur nous dépend de notre propre perception, de nous-mêmes », a déclaré Corentin Gnamangoye, président de FPG.

Ensuite, le numéro un de FPG, a poursuivi : « (…). Jusqu’à présent, nous n’avons compris que la génération précédente est pleinement engagée dans la préservation des acquis sociaux et professionnels sans aucune intention de passer le relais. Pendant qu’ils nous imposent les codes traditionnels au nom du respect des aînés, notre manque d’expérience renforce un pacte de non-agression pour éviter tout conflit intergénérationnel, créant ainsi un complexe sur ces questions ».

Sur la même lancée, Corentin Gnamangoye a renchéri : « (…). Nous devons répondre au défi intellectuel lancé par la génération précédente, celle qui a rendu impossibles nos rêves, construit notre inculture, privé de l’histoire de nos ancêtres et donc de notre identité, mutilé notre culture et nos langues vernaculaires, tout en se plaignant de notre incapacité à incarner nos valeurs traditionnelles ».

D’où, a surenchéri le président de FPG : « (…). Notre nombre doit être notre force, loin des jalousies et des egos et du désir d’un leadership imposé…Un esprit nouveau habite de nombreux jeunes de ce pays, il est temps de passer à l’action sans crainte ni complexe. Ce pays se construira par nous. C’est notre mission, nous avons juste à choisir entre la trahir ou l’accomplir. Alors accomplissons-la… ».

Il faut souligner qu’au cours de cette convention, plusieurs résolutions de bonne facture, ont été arrêtées, afin de garnir la besace de la FPG, qui ira les mettre à l’appréciation des participants au « Dialogue national inclusif ».

Kevin-aymard Lelengui

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 Sans honte ni remords, Abdoul Razzak KAMBONGO, l’actuel secrétaire général du gouvernement qui rêvait d’être président de la communauté musulmane du Gabon malgré sa méconnaissance du saint Coran est très vite redescendu sur terre.

  « Voici un homme politique qui cherche le pouvoir à tous les niveaux et qui n’a pas su dissocier la politique à la religion. Un opportuniste » aux dires des fidèles musulmans qui a volontairement décidé de ternir son image devant une foule nombreuse venue assister à la clôture du 5eme congrès de cette communauté religieuse où le collège des imams des neuf provinces du Gabon et du Grand Libreville a procédé le 16 mars dernier à l’élection du chef de la communauté musulmane du Gabon.

  Au terme dudit vote, l’imam Benyamin ANDJOUA OBOLO a été élu président avec 37 voix sur 41 soit 90% de suffrages.

 Quatre imams se sont abstenus, ceci pour qu’ils consentaient le choix porté sur le nouveau guide des musulmans du Gabon.

   Contre toutes attentes, Abdoul Razzak KAMBONGO prendra la parole dans la salle pour dire aux congressistes que « le président de la République Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA l’aurait parachuté chef de la communauté musulmane du Gabon.

  Grosse erreur ! Cette annonce spectaculaire a été rejetée du revers de la main par l’ensemble des fidèles et participants voire même par certains chrétiens catholiques, protestants et ceux des églises de réveil qui étaient venus observer le déroulement de cette désignation sachant bien que la communauté musulmane du Gabon traversait une période de tensions internes.

Ils étaient tous étonnés d’entendre que c’est le président de la transition qui a décidé unilatéralement de désigner un chef de la communauté religieuse qui lui est étrangère sans l’aval des imams théologiens et prédicateurs du Gabon .

    Si cela était une vérité, les chrétiens qui étaient dans la salle ont conclu que le président de la République pourrait dans un futur proche leur imposer un président à l’église évangélique du Gabon ou même un président des Églises de Réveil pourquoi pas imposer un évêque dans un diocèse du GABON.

  Entre autres, si le président de la République gabonaise Brice Clotaire OLIGUI a vraiment désigné Abdoul Razzak KAMBONGO comme chef de la communauté musulmane du Gabon, pourquoi ne s’était il pas impliqué dans la désignation du Grand Maître de la Grande loge du Gabon qui tatonnaient à trouver le remplaçant d’Ali Bongo Ondimba ?

   Bref!le collège des imams des neuf provinces du Gabon et du grand Libreville ont fait leur choix non pas pour défier le président de la République si par extraordinaire ce dernier avait réellement proclamer Abdoul Razzak KAMBONGO comme le patron des musulmans du Gabon.L’imam

Benyamine ANDJOUA OBOLO est leur choix idéal et non Abdoul Razzak KAMBONGO qui était absent des travaux préparatoires du congrès et qui ne s’intéressait même pas aux activités de la congrégation musulmane dans une période où il y avait des tensions mais voulait plutôt la facilité comme un mineur qui attend les bienfaits de ses parents ou tuteurs.

 Étrillé ce 16 mars à la mosquée centrale de Libreville, Abdoul Razzak KAMBONGO est sorti de la salle par les pointes de pieds et alla digérer son échec à la mosquée Hassan II avec un groupe des tripatouilleurs en déformant la réalité de la situation dont il a subie .

  En somme, les 12% qui constituent les fidèles musulmans au Gabon considére Benyamine ANDJOUA OBOLO comme leur chef de communauté et que Abdoul Razzak KAMBONGO n’est tout autre qu’un éborgneur capable de conduire toute la communauté dans une vision contraire aux attentes de ses fidèles

Gaël Bobouagno lenga

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Le président d’ensemble pour la République (EPR) Dieudonné Minlama Mintogo a ténu un important point de presse le weekend écoulé.

Cette rencontre de ce parti de l’opposition,s’est déroulée à la chambre de commerce de Libreville.

Et a vue la participation de plusieurs partis de l’opposition dont le MORENA cré par son père.

Avant de commencer ses propos Dieudonné Minlama Mintogo a décrété une minute de silence pour les corps retrouvés sans à la plage du lycée mba.

Il a rappelé le rôle salvateur joué par les forces de sécurité et défense dans le coût d’état survenu le 30 août dernier.

Il se félicite du fait que les militaires ont pris le pouvoir en mettant fin à un processus électoral tronqué.

Et qui si rien n’était fin dans l’immédiat,le pays allait se pronger dans un chaos sans précédent.

Tout celà cette raison, il soutient vivement le CTRI et la transition en cours au Gabon.

L’histoire du monde nous enseigne que malheureusement qu’aucune grande mission ne s’est réalisée sans tentations.

Il a ajouté au combien notre pays le Gabon,se retrouve à la croisée des chemins,contenu de son processus de transformation.

Le président de l’EPR est conscient de la pression de tous genres dont fait face le président Brice Clotaire Oligui Nguema.

Et derrière lui,tout le comité de transition et la restauration des institutions.

Dieudonné Minlama Mintogo se questionne tout de même sur plusieurs vieilles habitudes qui surviennent à l’aire de la transition.

C’est le cas de l’appel à candidature prématuré adressé au président de la transition.

La création de plusieurs associations à caractère politique.

Comment faut-il percevoir ce « kounabelisme « et ce culte de la personnalité qui s’installe pas à pas au sein de la société gabonaise ?

«Je reste convaincu que, sans la tour de pise, sans le trésor public, sans toute l’administration gabonaise à sa disposition, avec la mobilisation de tous les démocrates gabonais et tout le peuple avec nous, nous allons réduire le PDG à sa plus simple expression lors des élections générales de 2025», a le natif de Bitam Dieudonné Minlama.

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La question est au centre des débats des militantes et militants de l’ancien parti au pouvoir de la province de l’Ogooue Lolo qui n’est nullement qui ne sont nullement représentés dans le nouvel organigramme du parti démocratique gabonais d’autant plus que la province de l’Ogooue Lolo constitue le bastion politique de l’ancien parti unique.

Du coup , au lendemain des assises autocritiques du parti cinquantenaire prévu ce samedi 16 mars , le poste de secrétaire général adjoint 4 serait entre représenté par une fille ou un fils de la province de l’Ogooue Lolo.

Il y a entre autres :

Nanette Longa : ancienne secrétaire nationale, elle pourrait prendre le fauteuil de secrétaire général adjoint ;

Irène Lissengue : membre du bureau politique dans le 2e siège de la Lombo Bouenguindi , elle pourrait occuper valablement le secrétariat général adjoint ;

Clémence Loupdy : ancienne secrétaire nationale , elle pourrait occuper le poste de secrétaire général adjoint.

Sauf changement de dernière minute , qui de ces postulantes prendra le poste de secrétaire général adjoint ?

Les jours qui suivent nous le diront !

Azizetiquement vôtre !

Ali Akbar Azizet , Président du Comité des journalistes pour le Suivi des Actes de la Transition

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La question est au centre des débats des militantes et militants de l’ancien parti au pouvoir de la province de l’Ogooue Lolo qui n’est nullement qui ne sont nullement représentés dans le nouvel organigramme du parti démocratique gabonais d’autant plus que la province de l’Ogooue Lolo constitue le bastion politique de l’ancien parti unique.

Du coup , au lendemain des assises autocritiques du parti cinquantaire prévu ce samedi 16 mars , le poste de secrétaire général adjoint 4 serait entre représenté par une fille ou un fils de la province de l’Ogooue Lolo.

Il y a entre autres :

Nanette Longa : ancienne secrétaire nationale, elle pourrait prendre le fauteuil de secrétaire général adjoint ;

Irène Lissengue : membre du bureau politique dans le 2e siège de la Lombo Bouenguindi , elle pourrait occuper valablement le secrétariat général adjoint ;

Clémence Loupdy : ancienne secrétaire nationale , elle pourrait occuper le poste de secrétaire général adjoint.

Sauf changement de dernière minute , qui de ces postulantes prendra le poste de secrétaire général adjoint ?

Les jours qui suivent nous le diront !

Azizetiquement vôtre !

Ali Akbar Azizet , Président du Comité des journalistes pour le Suivi des Actes de la Transition

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