Libreville le 15 décembre 2020 (GLOBE Infos). De source sûre, les employés de l’entreprise PIZOLUB passent déjà à la caisse percevoir leurs sept mois d’arriérés de salaires, pari gagnant pour Guy Christian MAVIOGA, l’homme qui a su redonner à cette entreprise une visibilité sans pareille après 42 ans d’existence dans l’obscurité.
Ce n’est un secret pour personne, sauf pour les apprentis sorciers manipulateurs d’opinion, que le désormais ex Directeur général de PIZOLUB était à la manœuvre pour obtenir ce payement de salaires qui, d’après une source digne de Foi n’eut été la perspicacité de Mavioga n’allait pas avoir lieu si oui de moitié.
Rappelons à toute fin utile que Guy Christian Mavioga laisse à entreprise qu’il a sorti des cendres, un Agrément au Tarif Préférentiel CEEAC/CEMAC une ratification qui permet à PIZOLUB de vendre ses produits dans toute la zone CEMAC, un avantage qui est tombé à point nommé au moment où grâce à ce même Mavioga le Gabon venait d’obtenir des certifications pour fabriquer sa première marque de lubrifiants alors même que ce dernier était dépeint comme le mal de cette entreprise à la veille de son départ le 20 novembre dernier.
Aujourd’hui, une fois de plus et comme on ne s’y attendait plus, Mavioga vient de faire un nouvel exploit en payant les arriérés de 7 mois de salaire aux agents de Pizolub juste avant son départ définitif de la société.
En effet, le désormais ex Directeur général de PIZOLUB a pu trouver 2,5 milliards FCFA par le mécanisme de la stabilisation positive en passant non pas par le Ministère du Pétrole sa tutelle mais par le Ministère de l’Économie il y a de cela un mois quand il se faisait éjecter du poste de Directeur Général de Pizolub.SA. Toutefois, malgré les agitations causées par l’acquisition d’une telle somme d’argent en période de crise, certains ont voulu payer que 2 mois de salaire sur les 7 dus aux agents, Guy Christian MAVIOGA qui ne s’est pas lassé a continué de manière sereine à travailler avec les plus hautes autorités afin que l’intégralité des 7 mois de salaires dus soient payé.
C’est donc un ouf de soulagement pour les 156 employés de cette entreprise qui grâce à l’acharnement et la détermination du désormais Ex- Directeur Général rentrent dans leurs droits malgré sa diabolisation.
Voilà qui donne matière à réfléchir sur la diabolisation qu’a subit Guy Christian MAVIOGA qui a finalement réussit le pari de payer tous les salaires de ses employés avant la passation de charge un bel adieu.
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