La rédaction 066867376 Globe Infos. Hervé Patrick Opiangah, président de l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale (UDIS), est aujourd’hui la cible d’une injustice criante qui soulève interrogations et indignation parmi ses partisans. Les membres de l’UDIS se mobilisent pour réclamer le retour de leur président sur sa terre natale, un appel à la justice et à la dignité humaine.

Le jeudi 13 février, à Libreville, une rencontre cruciale s’est tenue pour faire entendre la voix des militants et sympathisants de l’UDIS. Cette réunion a été marquée par la lecture d’une déclaration, où plusieurs points importants ont été soulevés afin de dénoncer les abus dont Hervé Patrick Opiangah serait victime. La secrétaire permanente de l’UDIS, Madame Akorissami, a pris la parole pour exprimer le mécontentement général face à une situation qui, selon l’UDIS, perdure depuis trop longtemps.

Pour eux, les accusations portées contre Opiangah, notamment une poursuite judiciaire lancée par son ex-compagne, ajoutent une couche de complexité à cette affaire. Le 20 novembre, le président de l’UDIS a reçu deux convocations à la police judiciaire, mais il a choisi de ne pas y répondre. Cela a entraîné une intervention brutale des forces de l’ordre, qui ont mené une perquisition sans mandat, utilisant des agents en cagoules et lourdement armés. Face à une telle menace, Opiangah a été contraint de fuir pour préserver son intégrité.

La situation s’est aggravée, puisque sa famille a été arrêtée et placée en garde à vue pendant cinq jours, une mesure qui ne fait qu’ajouter l’angoisse ressentie par ses partisans. Madame Akorissami, en tant que voix de l’UDIS, a exprimé son indignation et celle de ses compatriotes face à cette injustice flagrante.

À la suite de cette rencontre, il est clair que les membres de l’UDIS ne resteront pas les bras croisés. Ils exigent le retour d’Hervé Patrick Opiangah dans sa terre ancestrale, un symbole de justice et d’intégrité pour un homme qui a consacré sa vie à la lutte pour la démocratie et l’intégration sociale.

Cet appel à la justice ne doit pas tomber dans l’oubli. Il est essentiel que la voix d’Hervé Patrick Opiangah et celle de ses partisans soient entendues, car la lutte pour la justice est avant tout une lutte pour la dignité humaine. Il est temps que les autorités prennent conscience de la gravité de la situation et agissent en conséquence pour rétablir la justice. Surtout lorsque 5000 emplois sont menacés.