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Gabon/l’industrie du jeu vidéo est lancée au Gabon: (LBV-RACE 2 ultra) est là

Libreville le 16 octobre 2020 (GLOBE Infos). C’est à la faveur d’une conférence de presse qui s’est déroulé dans l’une de leur salle de jeux sise au sixième arrondissement de la Commune de Libreville, que les responsables du laptop Gabaodesign qu’accompagnaient deux de leurs partenaires ont fait la présentation du premier jeu vidéo moderne Gabonais ( LBV-RACE 2 ultra).

Placé sous le thème :  » les enjeux du jeu vidéo en période de Covid-19 et après », cette rencontre avec les hommes de médias a eu quatre temps forts, parmi lesquels, les interventions des organisateurs de la rencontre , et le traditionnel jeu de questions réponses.

Pour Roy Comlan Owoula le co.développeur de LBV-RACE 2 ultra et porte parole du groupe, « l’industrie du jeu vidéo pourra devenir un vecteur de développement dans un proche avenir si et seulement si les gouvernants comprennent le bien-fondé de ce vaste secteur qui vient d’être reconnu par l’OMS, pour avoir joué un rôle très important pour le soutien psychologique des populations pendant ces temps de crise sanitaire sans précédent ». Une victoire d’après ce promoteur de jeu vidéo.

Dans sa présentation, Roy Comlan n’a pas manqué de présenter ce nouveau né qui a été lancé officiellement le 18bmai 2020, « dans l’ordre du Serius-Game car, il instruit, cultive, offre des divertissements parfaits, avec une large présentation touristique, publicitaire et même environnementale. C’est donc tout simplement une merveille nationale » a-t-il conclu.

Les trois autres intervenants sont aller dans le même sens que lui, chacun dans son angle. Par exemple pour Arnaud Angouanda qui est par ailleurs président de l’association Gabonaise de E-sport, « le monde est en plein mutation et le Gabon ne doit pas être en reste. La création de ce jeu vidéo made in Gabon est un bon signe que les choses avancent, bien qu’à petits pas mais elles avancent quand même. Dans mon domaine par exemple qui est le E-sport, le Gabon a désormais une reconnaissance internationale et il participe déjà à certaines compétitions de basket E-sport ce qui nous a valu un parrainage de la fédération Gabonaise de basket qui soutient l’équipe nationale de basket virtuelle ».

Quant à Ronger boussougou le juriste, « l’industrie du jeu vidéo a désormais son mot à dire à travers le monde en général et au Gabon en particulier lorsqu’on parle économie car ailleurs elle génère beaucoup d’argent et créé de nombreux emplois. C’est vrai qu’à présent elle ne nourrit pas encore son homme mais l’avenir est promoteur ». A-t-il conclu.

Guy Placide Ibouanga le cerveau de la bande, car c’est lui le développeur en chef du jeu LBV-RACE 2 ultra et par ailleurs concepteur de la startup Gabaodesign. Exposant sur l’aspect technique du jeu, celui-ci a fait tomber les voiles du scepticisme aux jeux vidéos de certains participants en expliquant point par point le parcours et ses symboles, comme par exemple les emblèmes Provinciales du Gabon dont la classification exacte vous octroye des points ou vous élimine un bon cour de culture générale gratuit » a-t-il plaisanté.

Mieux dans LBV-RACE 2, Guy-Placide Ibouanga a représenté un Libreville Futuriste qui doit inspirer les gouvernants par sa pureté, propreté et avec voirie qu’on ne verra nul part ailleurs avec les mêmes édifices actuelles. Pour l’avoir rendez-vous sur play store sur Google pour le télécharger et vous aurez 1000 CFA seulement à payer lors de cette opération pour que le jeu soit activé, bon jeu à tous.Après quelques heures d’échanges, les participants et hommes de médias ont pris congé de leurs hôtes du jour, avec une nouvelle vision de l’industrie du jeu vidéo.

Pour conclure Guy-Placide et les siens espèrent de l’état un soutien à l’ordre de 1 milliards de Francs CFA pour la création et le fonctionnement de la maison Gabonaise du jeu vidéo sur 2 ans.

Celle-ci permettra la mise en place des équipes nationales E-sport, la mise en service des salles de travail pour les développeurs, la formation aux métiers de développement du jeu vidéo, la production d’au moins 5 par an sous le label MJGV, l’organisation d’un salon annuel du jeu vidéo et enfin le soutien matériel aux salles de jeu vidéo.

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