Libreville le 30 Avril 2024 Globe Infos. « L’oeil du Globe » le dialogue national inclusif dont les résolutions sont remises au chef de l’État ce jour, a touché l’un des aspects poignant que doivent impérativement régler les nouvelles autorités gabonaises à savoir : l’insécurité et l’immigration clandestine. Un lien étroit et très sensible lie ces deux facteurs au Gabon. La question de l’immigration clandestine est un sujet assez complexe au pays du Général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma car, souvent instrumentalisée à des fins politiques et sujette à des amalgames dangereux au regard des moyens utilisés par ceux-ci pour accéder sur le territoire gabonais. Il était donc important dans ce dialogue national inclusif d’analyser la situation de manière nuancée et factuelle pour comprendre les enjeux et les défis liés à ce phénomène.

L’immigration clandestine, un phénomène multi factoriel.

Les motivations des migrants clandestins qui arrivent au Gabon sont multiples et complexes. Parmi les principales raisons évoquées, on trouve :

– la recherche de meilleures conditions de vie: Fuir la pauvreté, l’instabilité politique ou les conflits dans leur pays d’origine pour espérer un avenir meilleur.

– l’accès aux opportunités économiques: Le Gabon, avec ses ressources naturelles et son développement économique, représente un pôle d’attraction pour des migrants en quête d’emplois et de revenus plus importants que ceux qu’ils peuvent trouver chez eux.

Malheureusement ces quatorze dernières années ce phénomène qui semblait être mieux maîtrisé par Bongo père, a plutôt pris des proportions inquiétantes de tel en sorte qu’il se sur sur que les immigrants clandestins seraient plus nombreux que les nationaux.une embarcation de fortune des migrants clandestins au large des côtes gabonaises 

L’impact sur la sécurité

L’immigration clandestine a un impact sur la sécurité au Gabon, de plusieurs manières :

– criminalité: profitant de la sympathie du peuple gabonais, certains migrants clandestins sont le plus souvent impliqués dans des activités criminelles, comme des vols, des agressions ou du trafic de drogue comme l’ont souligné les contributeurs. Cependant, pour les commissaires, il était important de noter que la grande majorité des migrants ne sont pas criminels et ils contribuent positivement à la société gabonaise.

– la tensions sociales: par contre l’arrivée massive des migrants clandestins susciterait des tensions sociales, notamment en raison de la concurrence déloyale pour les ressources, l’informel et les emplois, ou encore la perception parfois erronée sur le lien entre immigration clandestine et criminalité.

Défis pour les forces de l’ordre: Le contrôle des flux migratoires clandestins représente un défi important pour les forces de l’ordre gabonaises, qui doivent mobiliser des moyens conséquents pour surveiller les frontières et lutter contre les réseaux de passeurs, vu l’importance d’une approche multidimensionnelle de la question.

« Il était donc crucial d’aborder la question de l’immigration clandestine de manière globale et multidimensionnelle, en tenant compte des différentes causes et des différents impacts potentiels » ont précisé les commissaires de cette sous-commission.

Afin de lutter contre les causes profondes de ce phénomène, des efforts doivent être entrepris telles que: la pauvreté, les conflits et l’instabilité politique dans les pays d’origine des migrants.

Favoriser une migration légale et sécurisée: Le Gabon devrait mettre en place des politiques migratoires claires et transparentes qui facilitent l’accès à des visas de travail et de regroupement familial, tout en luttant contre les réseaux de passeurs. Les autorités gabonaises doivent renforcer la sécurité des frontières maritimes et terrestres. Elle doit être renforcé pour limiter les entrées illégales sur le territoire gabonais.

– promouvoir l’intégration des migrants: Des actions doivent être menées pour favoriser l’intégration des migrants régularisés dans la société gabonaise, en leur facilitant l’accès à l’éducation, à la santé, au logement et à l’emploi.

– lutter contre les discours haineux et la stigmatisation: Il est important de combattre les discours haineux et la stigmatisation visant les migrants, en promouvant une meilleure compréhension des réalités migratoires et en valorisant la contribution positive des migrants à la société gabonaise.

En conclusion

Pour conclure disons que La question de l’immigration clandestine au Gabon est complexe et ne peut être résumée à des raccourcis simplistes. Le dialogue national inclusif qui s’achève en a fait l’une de ses priorités. Il était donc essentiel d’analyser le phénomène de manière nuancée et de mettre en place des politiques migratoires justes et efficaces qui s’attaqueraient aux causes profondes du problème, tout en favorisant la sécurité et le bien-être de tous.

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Victime d’un déraillement, le chemin de fer a vu ses activités s’estomper pendant plusieurs heures. La dextérité et la détermination de ses techniciens emmènent le service communication de l’entreprise à annoncer de un communiqué dont notre rédaction a reçu copie, la reprise du trafic.

Ci-dessous l’intégralité dudit communiqué.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Reprise du trafic ferroviaire

Setrag informe l’ensemble des usagers du chemin de fer de la reprise des circulations de tous les trains à compter de ce samedi 27 avril 2024.

Les trains de marchandises partiront conformément au programme défini et aux heures habituelles.

Les trains de voyageurs N°511 et N°532 annulés le vendredi 26 avril 2024 sont reprogrammés comme suit :

Sens Owendo-Franceville

Départ du train N°511 ce samedi 27 avril à 16h.

Sens Franceville-Owendo

Départ du train N°532 ce samedi 27 avril à 20h.

Setrag vous renouvelle ses sincères excuses pour le désagrément causé et remercie sa clientèle pour sa bonne compréhension.

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Le Dialogue national inclusif qui s’achève sur une note assez forte la dissolution du Parti Démocratique Gabonais PDG du feu Omar Bongo Ondimba qui a dirigé le pays pendant plus de cinq décennies.

Le standing ovation des participants au DNI dans la salle où se déroulait la grande plénière de ces assises a attiré plus d’un lorsque le Pr Boundzanga par ailleurs président de la commission Politique a annoncé la pensée presque unanime des Gabonais qui de demandent à ce que le PDG soit suspendu et que ses plus hauts cadres soient frappés d’une inéligibilité partielle d’au moins dix 03 ans.

Le PDG ne sortira finalement pas de la crise dont il est plongé depuis la prise du pouvoir par les militaires le 30 Août dernier. Cette proposition des commissaires qui sonne comme un glas dans le paysage politique gabonais, vient doucher les espoirs de quelques téméraires qui rêvaient de relever cet éléphant en agoni. Malheureusement pour ceux-là et ceux qui croyaient que partir du PDG était suffisant.

Malheureusement ils pourraient être rattrapés par leur tumultueux passé.

NB : relevons que tous autres autres partis politiques sont suspendus jusqu’à nouvel ordre. Du moins En attendant que les nouvelles règles de création des Partis politiques soient mises en place.

Nous y reviendrons.

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Le Président de la Transition , Président de la République Chef de l’État, Son Excellence le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a procédé le 24 avril courant à l’inauguration de l’École du Prytanée militaire de Lalala en présence du Chef du gouvernement, monsieur Raymond Ndong Sima.

Anciennement appelé “Centre préscolaire municipal de Lalala”, cet établissement désormais placé sous tutelle du Prytanée militaire comprend une salle multimédia, une bibliothèque, une cantine , une infirmerie ,un bâtiment administratif et 22 salles de classes subdivisées en préscolaire, primaire et secondaire.

Située dans le 5ème arrondissement de Libreville , l’infrastructure moderne répondant aux normes de l’UNESCO est bâtie sur une superficie de 5200 m2 pour une capacité d’accueil de 500 élèves au total, à raison de 25 élèves par classe.

Durant cette cérémonie d’inauguration, le Chef de l’État a effectué une visite guidée des locaux . Grâce à la volonté des plus hautes autorités en tête desquelles le Président de la Transition , cette nouvelle école vient contribuer à l’amélioration des conditions d’apprentissage et combler le déficit en structures scolaires.

Parmi les temps forts qui ont marqué ces moments, l’on note la prestation des élèves du prytanée militaire ainsi qu’une série de décorations de 19 personnalités civiles et militaires ayant reçu des médailles d’honneur du génie militaire et élevées aux rangs de Chevaliers, d’Officiers et de Commandeurs de l’Ordre de l’Education Nationale.

Pour rappel, c’est en décembre 2020 que le Centre préscolaire municipal de Lalala avait été démoli par un particulier . Après le Coup de libération du 30 août 2023, le CTRI a initié la reconstruction de ce joyau architectural afin de soulager les populations environnantes.

FIN

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« Le Gabon a souffert pendant 14 ans d’une immigration sauvage entretenue par les anciennes autorités gabonaises. » Dixit Pr Taba Odounga Didier Commissaire à la sous-commission souveraineté nationale, elle-même logé dans la commission Politique. Il est par ailleurs Vice Président du parti Social-démocrate.

Après la Commission économique et la commission Sociale, qui ont livré le contenu de leur travail en plénières restreintes le mardi et mercredi, le tour est revenu ce jeudi 25 avril 2024 à la très attendue commission Politique de passer au peigne fin leurs travaux.

Pour le commissaire de la sous-commission souveraineté nationale, plusieurs questions importantes ont été traitées par celle-ci à savoir :

– la diplomatie

– l’immigration

– la Nationalité

– les forces de défense et de sécurité.

De ces quatre thématiques le représentant du PSD dans ce dialogue national inclusif va livrer ce qui suit tout en tenant compte que ces propositions ne sont pas définitives.

La Diplomatie

Pour les populations gabonaises le constat est amer car la diplomatie gabonaise a perdu sa verve. Elle évolue aujourd’hui en dents de scie à l’échelle internationale. Alors les commissaires pensent que le déclassement du Gabon ne sera plus possible si et seulement si les résolutions issues de ce dialogue national inclusif sont appliquées par le président de la transition.

« Vous êtes sans ignorer que la diplomatie aujourd’hui implique inéluctablement les enjeux environnementaux pour être crédible vis à vis des partenaires au développement. Il faut donc former et mettre en place des mécanismes susceptibles de redynamiser notre patrimoine diplomatique” a-t-il précisé.

L’immigration

La majorité des Gabonais sont arrivés à la conclusion que les anciennes autorités ont fait l’apologie de l’immigration clandestine au Gabon. La quantité et la qualité des propositions le démontrent. Sur ce point les commissaires ont proposé que cette immigration sauvage soit réglée.

« Il faut que les frères qui arrivent se soumettent aux lois en vigueur. Les frontières doivent être mieux gardées par les forces de défense et de sécurité. » Pense-t-il .

Nationalité

La question sur la nationalité a suscité un grand intérêt au sein de la population gabonaise qui vient de passer quatorze années de gabegie dans ce domaine où l’on pouvait retrouver un néo patriot à des postes très élevés de l’administration. Les commissaires aux dires de Mr Didier TABA ODOUNGA ont essayé ” de monter les digues pour qu’on ne revive plus les mêmes symptômes.

« nous avons proposé que l’étranger qui sollicite la nationalité gabonaise procède au préalable, à la prestation de serment devant les tribunaux et que celui-ci jure de ne pas trahir les valeurs de notre société” a expliqué notre interlocuteur.

Les forces de défense et de sécurité.

Sur ce point il en ressort que les gabonais se sentent un peu coupés de leur force de défense. Il faut dire que les événements de ces dernières années n’ont pas favorisé une certaine complicité entre le peuple et son armée ce qui est très grave. La transition militaire aidant, notre interlocuteur pense que les choses peuvent changer dès lors que l’éthique et la morale du personnel des forces défense et de sécurité surpassent les mauvaises habitudes qu’ils ont acquises ces dernières années. Mieux qu’une enquête de moralité municieuse soit menée lors des recrutements. Quelles soient équipées des moyens matériels et humains afin d’atteindre des objectifs  escomptés.

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Le Bâtonnier du Gabon, Raymond Obame Sima, à répondu à l’invitation de son homologue et confrère, le Bâtonnier Alban Pousset-Bougère, accompagné d’une forte délégation. Étais présent le consul Honoraire du Gabon et Avocat Me Jean Christophe Bessy. Cette rencontre marquait les 30 ans du jumelage entre les Barreaux de Lyon et du Gabon, scellé par une convention de collaboration en 1994. C’était l’occasion idéale pour revisiter cette coopération et relancer les activités qui semblaient s’être quelque peu estompées au fil du temps.

Au cœur des échanges se trouvaient plusieurs points cruciaux, dont la formation initiale et continue des jeunes avocats, ainsi que l’assistance administrative et scientifique pour la mise en place de l’école des avocats du Gabon. Ces sujets ont suscité des discussions enrichissantes et ont permis de tracer des pistes concrètes pour renforcer les liens entre les deux institutions.

Un aspect important abordé lors de cette rencontre a été la question de la mise en place d’une Caisse de maniements des fonds de garantie pour chaque Barreau, sur le modèle de la CARPA (Caisse des Règlements Pécuniaires des Avocats). Le Bâtonnier du Gabon a souligné les avantages d’une telle structure pour consolider l’indépendance du Barreau du Gabon et garantir la protection de ses membres. Le Conseil de l’Ordre Lyonnais s’est montré favorable à soutenir cette initiative et à accompagner le Conseil de l’Ordre du Gabon dans sa mise en œuvre.

Une autre avancée significative a été l’engagement du Barreau de Lyon à soutenir la nouvelle Bibliothèque Marlyse Issembe, récemment inaugurée au Gabon. En mettant à disposition sa bibliothèque virtuelle, le Barreau de Lyon offre un accès privilégié à une mine d’informations juridiques pour les avocats gabonais, renforçant ainsi les capacités professionnelles et académiques de la communauté juridique gabonaise.

À l’issue de cette séance de travail fructueuse, le Bâtonnier Raymond Obame Sima s’est exprimé avec satisfaction, soulignant l’importance de ces échanges pour le Barreau du Gabon. Il a salué l’engagement et la volonté de collaboration manifestés par le Barreau de Lyon, et a exprimé sa confiance dans le renforcement des liens entre les deux institutions dans les années à venir.

Cette rencontre entre les Barreaux de Lyon et du Gabon marque un nouveau chapitre dans leur partenariat, mettant en lumière les opportunités de collaboration et d’échange mutuel. Elle témoigne de l’importance de la coopération internationale dans le domaine juridique, et de la volonté commune de promouvoir les valeurs d’indépendance, d’équité et de justice dans le monde entier.

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Libreville le 23 avril 2024 Globe Infos. Avec le jugement rendu ce Lundi 22 avril 2024 par le Tribunal correctionnel de Paris en faveur de la fille aînée du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, c’est une autre page de l’affaire sur les « Biens Mal Acquis » qui, désormais, se tourne. Et, qui démontre un sinueux montage pour écorner davantage l’image de la descendance du défunt président gabonais.

En effet, Pascaline Mferry Bongo Ondimba qui a toujours clamé son innocence pour des faits de corruption dans l’affaire dite « Biens Mal Acquis » à simplement été relaxée par la justice française à l’issue d’un procès au tribunal correctionnel de Paris en France.

La fille aînée d’Omar Bongo Ondimba qui comparaissait avec ses prétendus coaccusés, était soupçonnée d’avoir accepté d’intervenir en faveur « d’Egis Route » dans l’attribution de marchés publics, contre la promesse de 8 millions d’euros de rétro commissions. Une victoire certaine pour la fratrie Omar Bongo Ondimba soumise depuis le décès du patriarche à la pression exercée par certains réseaux et lobbies franco français.

Dont l’objectif visé est l’extinction politique, économique et sociale de la fratrie. Que cacherait l’acharnement dont serait victime la descendance de l’ancien président depuis plus d’une décennie ? Les avocats de Pascaline Mferry Bongo Ondimba ont toujours demandé l’annulation d’un procès considéré comme une odieuse machination.

Selon des sources judiciaires françaises, aucun élément probant n’a démontré une intervention en ce sens et, surtout que, l’infraction de trafic d’influence d’agent public étranger n’existait pas au moment des faits. Le tribunal de Paris a fait « une juste appréciation de la situation et dépassé les raisons d’opportunités » qui avait conduit le parquet à la renvoyer devant le Parquet correctionnel. « Une victoire du droit » a plaidé à la sortie d’audience l’avocate de Pascaline Mferry Bongo Ondimba.

Dans le délibéré de ce Lundi 22 avril 2024, tout indique que les fonctions de Haute Représente Personnel du Président de la République qu’occupaient Pascaline Mferry Bongo Ondimba n’avait pas de faculté d’attribuer le marché, et que, tout au plus, ses fonctions et sa proximité fraternelle reelle ou supposée avec le président de la République auraient pu lui permettre d’user d’une quelconque influence. Thierry Mocktar

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Libreville le 22 avril 2024 Globe infos. Après la première phrase qui constituait à former les commissaires, s’en est suivie celle des travaux en commissions et sous-commission. La troisième phase qui l’une des plus importantes est celle des plénières restreintes qui débute ce 23 avril courant.

En vue des plénières restreintes qui débuteront ce mardi 23 avril 2024, le bureau du Dialogue National Inclusif – DNI examine déjà en amont depuis ce 21 avril, les rapports des Commissions et Sous-Commissions afin de sortir un document cadre qui sera validé et présenté aux plus hautes autorités gabonaises à la tête desquelles le général de brigade Brice-Clotaire Oligui Nguéma Président de la transition Président de la République Chef de l’État.

Ce 22 avril courant, les vingt huit (28) membres du bureau ont poursuivi le travail d’examen entamé le samedi 20 avril dernier. Après ce regroupement des données, il serait alors plus facile au bureau et commissaires de mener des plénières restreintes moins contraignantes. Car depuis hier, dimanche 21 avril 2021, le Bureau du DNI examine ces rapports en vue de la préparation des plénières restreintes qui débuteront demain mardi 23 avril avec la commission économique, sur le site d’Angondjé.

Le Bureau du DNI se réjouit du respect du chronogramme par l’ensemble des commissaires, c’est une manifestation de la rigueur de travail et du respect de la méthodologie proposée.

C’est aussi une preuve de résilience des différents commissaires qui ont su dépasser leurs clivages pour l’intérêt supérieur de la nation.

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Le dialogue national inclusif qui est sur le point d’apporter satisfaction d’après certaines sources, va donner un nouveau départ à la nation Gabonaise. Ces assises, en cours depuis le 02 avril courant, sont sur le point de se conclure avec succès. Cette initiative historique organisée par les nouvelles autorités gabonaises rassemble des représentants de toutes les composantes de la société, des partis politiques, des ONG, des peuples autochtones, des activistes, de l’administration Etc….dans un effort concerté pour trouver des solutions durables aux défis auxquels le pays est confronté.

Ces assises qui sont en train de tirer petit à petit vers la fin marquent par un esprit de compromis et de dialogue constructif. Les participants ont mis de côté leurs différences pour se concentrer sur l’intérêt général de la nation. D’après certaines indiscrétions les commentaires ont pu parvenir à des propositions sur un certain nombre de questions clés, notamment la réforme constitutionnelle, le processus électoral Etc…

La réussite de ce dialogue national inclusif serait une étape majeure vers la paix et la stabilité dans le pays. Il ouvrirait la voie à la tenue d’élections libres et transparentes, à la mise en place d’institutions démocratiques fortes et à la construction d’une nation unie et prospère.

Les raisons d’y croire.

La réussite de ce dialogue national inclusif pourrait être attribuée à un certain nombre de facteurs:

– Premièrement, l’on observe que le processus a été inclusif et transparent. Toutes les couches de la société ont été invitées à participer et leurs voix ont été entendues. 

– Deuxièmement, le dialogue est dirigé par l’archevêque métropolitaine de Libreville. Il est accompagné à cette tâche par d’autres chefs de confessions religieuses, toutes les tendances confondues. 

– Troisièmement, la détermination des participants à trouver des solutions communes, donc bénéfiques à tous. 

– Quatrièmement, ces assises bénéficient du regard de l’international.

Malgré le succès du dialogue national inclusif qui se profile à l’horizon d’après les observations, il n’en demeure pas moins qu’il reste encore beaucoup à faire. Les accords qui doivent être conclus devraient être mis en œuvre. Cela va nécessiter un engagement continu de la part de toutes les parties prenantes et des autorités locales. Il faudra également surmonter un certain nombre de défis, notamment l’insécurité persistante et les divisions sociales.

Ce dialogue national inclusif marque un nouveau départ pour la nation gabonaise. Il offre l’occasion de construire un avenir meilleur pour tous les citoyens. Le succès réel de celui-ci dépendra de la volonté qu’auront toutes les parties prenantes à travailler ensemble pour mettre en œuvre les accords conclus.

Le dialogue national inclusif qui tire vers sa fin pourrait être un succès historique qui ouvre la voie à la paix et à la stabilité dans le pays. Il serait judicieux pour les autorités gabonaises de mettre en œuvre les accords conclus et de construire un avenir meilleur pour tous

les citoyens

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Libreville, le 18 avril 2024. Globe Infos.

Désireux de donner une autre dimension à AGL, la Direction de cette entreprise a entamé il y a quelque temps l’implémentation de leur marque. Ce processus de haute importance a atteint son épilogue ce début d’année 2024. Satisfait, la direction a organisé le 18 Avril courant, une cérémonie digne de ce nom et à la hauteur des attentes.

Ci-dessous l’intégralité du communiqué y relatif.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Africa Global Logistics, opérateur logistique multimodal de référence en Afrique, a organisé, ce jeudi 18 avril 2024 à Libreville, une soirée pour célébrer la fin de l’implémentation de la marque AGL au Gabon. L’événement a été rehaussé par la présence de représentants des institutions publiques, des autorités administratives, ainsi que des partenaires et clients de AGL Gabon.

Affiliée au groupe MSC, premier armateur mondial, Africa Global Logistics, acteur clé de la mutation logistique des marchés émergents, a profité de cette occasion pour exposer à nouveau sa vision et ses ambitions axées sur des investissements et moyens plus importants pour être résolument au cœur des transformations de l’Afrique. Ceci avec une offre de services spécialisés, intégrés et diversifiés à travers des solutions portuaires, maritimes, logistiques et ferroviaires.

« En tant que premier armateur mondial, MSC est convaincu du potentiel de l’Afrique où il anticipe une croissance durable et rencontre des valeurs qui épousent les siennes à savoir : l’humilité, la passion, l’agilité, la solidarité. Avec l’acquisition de AGL conclue il y a un an, c’est un engagement à accompagner le développement du continent et à se positionner au cœur de ses transformations. AGL Gabon s’inscrit pleinement dans cette dynamique et entend jouer un rôle majeur dans la transformation de la chaîne logistique africaine. Forts de notre expérience et de notre savoir-faire, nous sommes déterminés à offrir à nos clients des solutions innovantes et compétitives qui répondent à leurs besoins spécifiques avec un ancrage local avec et pour les Gabonais», soutient Patrick GERENTHON, Directeur Général de AGL Gabon.

Poursuivant justement sa dynamique de croissance, AGL Gabon prévoit d’investir massivement dans le développement de ses infrastructures et de ses services et ainsi contribuer à la création d’un écosystème logistique performant et durable pour le pays.

A propos de AGL Gabon

AGL assure grâce à ses 1 100 collaborateurs au Gabon, les prestations de manutention portuaire, de consignation maritime, de logistique transit et de commission en douane. Nous proposons à nos clients un service de proximité, une parfaite connaissance des marchés et une maîtrise des opérations de bout en bout de la chaîne logistique. AGL est engagé aux côtés des autorités gouvernementales et portuaires, pour lutter contre la vie chère et contribuer à la croissance économique et sociale du Gabon, avec notamment dans sa démarche de responsabilité sociale une politique active de soutien aux populations et des actions orientées vers la jeunesse.

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