Vieux de plus de quarante décennies, le chemin de fer Gabonais qui avait eu son temps de gloire dans ses débuts aux années 1978- 80…, avait commencé au fil des années à présenter des signes d’amortissement source de plusieurs incidents enregistrés de temps en temps tout le long de ses 648 km. Après plusieurs mutations, la Société d’exploitation du Transgabonais (SETRAG) est à ce jour le garant de la gestion de cet édifice.

En effet, c’est conscient de ces réalités dûes à la vétusté des ses installations et l’envie de s’arrimer aux nouvelles normes en matière d’exploitation des chemins de fer que la Setrag, filiale du groupe Eramet a, avec ses partenaires dont l’état Gabonais initié le PRN, qui est un vaste programme ambitieux de remise à niveau de toute l’entreprise tant sur le plan technique que social.

Innovations techniques dues au PRN gage des belles performances enregistrées

Longue de 648 Kms, partant de Libreville pour Franceville, le chemin de fer gabonais compte à ce jour, 225 kilomètres entièrement rénovés. Les bi-blocs avec leurs 50 années de résistance ont remplacé les traverses en bois qui exigeaient un recyclage tous les 15 ans. Mieux les rails de 50 kg ont fait de la place à ceux de 60 kg plus solides, durables et mieux adaptés au volume du trafic que subit la voie ferrée. Au cours de ces travaux et obéissant au programme, l’entreprise a procédé au rallongement des voies de croisements dans quatre gars pour le stationnement de trains. Et pour couronner le tout la SETRAG a réhabilité plusieurs anciennes voitures et en acheter d’autres. Ce qui accroît sa capacité de transport.

Forts de ces efforts, le temps de stationnement dans les gares et de détresse des trains, est fortement réduit concourant ainsi au raccourcissement du temps de parcours au grand bonheur des voyageurs dont quelques avis nous ont été donnés.

Pour M.William passager en provenance de Lastourville: « Nous sommes arrivés ce matin à 5h45mn.Une bonne nouvelle pour nombre des passagers que nous sommes. Moi je suis agent d’une banque de la place.En arrivant à cette heure, j’ai le temps de m’apprêter pour mon service. Félicitations à la Setrag! »

P.Amelie embarquée à Moanda n’est pas en reste: « Très franchement je ne sais quoi dire, sinon me réjouir de ce que l’on arrive désormais à temps. Ici suis en transit, car je réside à Port gentil. Après ici, j’irai directement au Port Mole où je dois reprendre mon voyage en bateau et pour cela j’ai tout le temps. Que vivement cela dure! »

À O.Aloise parti de la gare de Booue de dire : « Cette amélioration est certainement due à la pression que met l’Artf sur Setrag. C’est la preuve qu’il y a un réveil de ce côté, ce qui arrange les passagers que nous sommes. Bravo à tous pour les efforts consentis! »

Et à T.Clarisse passagère embarquée à Franceville de conclure : « Le train circule parfaitement de Franceville à Ndjolé ce qui permet de gagner en temps. Lorsque le tronçon Ndjolé- Libreville sera fluide, les délais seront plus courts. Mais aujourd’hui nous nous réjouissons de ce que désormais on arrive le matin, ce qui permet de vaquer à nos occupations« .

Au regard de tous ces témoignages, les dirigeants de la SETRAG comme leurs passagers ne souhaitent qu’une seule chose voir le PRN aller à son terme pour une meilleure exploitation de l voie ferrée.

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Dans un communiqué du service communication de la SETRAG l’entreprise annonce un déraillement survenu ce jour. 

Ci-dessous l’intégralité dudit communiqué.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Incident sur la voie ferrée.
Setrag informe l’ensemble des usagers du chemin de fer de la suspension momentanée du trafic, suite au déraillement du train minéralier N°3473 survenu ce vendredi 26 avril 2024, aux environs de 8h52 entre les gares de Milole et Lastourville au PK476+958.
Aucun blessé n’est à déplorer, cependant près de 300 mètres de voie endommagés et 26 wagons vides déraillés.

En conséquence, les trains de voyageurs N°511 au départ de la gare d’Owendo et N°532 au départ de la gare de Franceville de ce vendredi 26 avril 2024 sont annulés. Des mesures commerciales ont été mises en place pour les voyageurs impactés notamment, le remboursement des billets de train et le report de voyages.
Les équipes techniques sont déployées sur les lieux de l’incident, pour rétablir le trafic dans les meilleurs délais.
La reprise des circulations fera l’objet d’une communication ultérieure.
Setrag présente ses sincères excuses pour le désagrément causé et remercie son aimable clientèle pour sa bonne compréhension.

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Ce vendredi 26 Avril 2024 , Cyrille ONA, accompagné d’une forte délégation du mouvement EVEIL, s’est rendu à l’orphelinat Arc-en-Ciel pour témoigner leur soutien aux enfants et apporter un geste d’amour et de paix. Cette visite intervient dans un contexte où la diaspora gabonaise de France et à leur participer au dialogue inclusif, sur invitation du président Brice Clotaire Oligui Nguema, chef de l’État.

Le mouvement EVEIL, porté par Cyrille ONA, a toujours été engagé en faveur de la solidarité, de la justice sociale et du bien-être des populations les plus vulnérables. Cette visite à l’orphelinat Arc-en-Ciel s’inscrit dans cette démarche, visant à offrir un moment de réconfort et d’espoir aux enfants qui y résident.

Lors de cette visite, Cyrille ONA et sa délégation ont offert des dons en nature, comprenant des denrées alimentaires . Ils ont également passé du temps avec les enfants, échangeant des mots d’encouragement et partageant des moments de joie et de complicité.

Ce geste d’amour et de paix à l’orphelinat Arc-en-Ciel revêt une importance particulière, car il vise à rappeler aux enfants qu’ils ne sont pas seuls dans leur situation. Il témoigne également de la volonté du mouvement EVEIL de promouvoir des valeurs de solidarité et d’entraide au sein de la société gabonaise. 

Par ailleurs, la participation de la diaspora gabonaise de France au dialogue inclusif, initié par le président Brice Clotaire Oligui Nguema, revêt une importance cruciale pour l’avenir du Gabon. En faisant entendre leur voix et en exprimant leurs préoccupations, les membres de la diaspora contribuent à enrichir le débat et à œuvrer pour le bien de leur pays.

En conclusion, ce geste d’amour et de paix de la part du mouvement EVEIL à l’orphelinat Arc-en-Ciel est un exemple inspirant de solidarité et d’engagement envers les plus démunis. Il rappelle à tous que chacun peut contribuer, à sa manière, à rendre le monde meilleur.

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Le Président de la Transition , Président de la République Chef de l’État, Son Excellence le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a procédé le 24 avril courant à l’inauguration de l’École du Prytanée militaire de Lalala en présence du Chef du gouvernement, monsieur Raymond Ndong Sima.

Anciennement appelé “Centre préscolaire municipal de Lalala”, cet établissement désormais placé sous tutelle du Prytanée militaire comprend une salle multimédia, une bibliothèque, une cantine , une infirmerie ,un bâtiment administratif et 22 salles de classes subdivisées en préscolaire, primaire et secondaire.

Située dans le 5ème arrondissement de Libreville , l’infrastructure moderne répondant aux normes de l’UNESCO est bâtie sur une superficie de 5200 m2 pour une capacité d’accueil de 500 élèves au total, à raison de 25 élèves par classe.

Durant cette cérémonie d’inauguration, le Chef de l’État a effectué une visite guidée des locaux . Grâce à la volonté des plus hautes autorités en tête desquelles le Président de la Transition , cette nouvelle école vient contribuer à l’amélioration des conditions d’apprentissage et combler le déficit en structures scolaires.

Parmi les temps forts qui ont marqué ces moments, l’on note la prestation des élèves du prytanée militaire ainsi qu’une série de décorations de 19 personnalités civiles et militaires ayant reçu des médailles d’honneur du génie militaire et élevées aux rangs de Chevaliers, d’Officiers et de Commandeurs de l’Ordre de l’Education Nationale.

Pour rappel, c’est en décembre 2020 que le Centre préscolaire municipal de Lalala avait été démoli par un particulier . Après le Coup de libération du 30 août 2023, le CTRI a initié la reconstruction de ce joyau architectural afin de soulager les populations environnantes.

FIN

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Un retour aux fondamentaux pour les femmes des médias publics et privés 

A l’initiative de la Coalition Nationale des Organisations Féministes pour la Génération Égalité Gabon (CNOFGEG), les femmes journalistes ont vu leurs capacités être renforcées à l’occasion d’un atelier sur la diffusion des discours non haineux pendant les assises du DNI.

Entre justice et droits des femmes journalistes, nécessité du respect de la déontologie journalistique dans le traitement de l’information en périodes sensibles et les discours de haine dans les médias, les participantes à ce rendez-vous du donné et du recevoir auront été servi.

Étroitement lié, le journalisme et le droit imposent aux journalistes le strict respect de l’éthique et de la déontologie mais encore au respect de l’équité et de la neutralité. Ses notions définissent même le métier de journaliste sont souvent remises en question en raison de la précarité que subissent ces derniers.

Ce sont près de cinquante femmes issues des médias publics et privés qui ont partagé leurs expériences dans le domaine tout en relevant les avancées en termes de textes ratifiés par le Gabon sur les violences faites aux femmes. A l’instar de la loi 006/2021.

La CNOFGEG s’est félicitée de la mobilisation autour de cet atelier de 24h tenu au sein des conférences d’ABC Mall.

Marielle EKOME

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« Le Gabon a souffert pendant 14 ans d’une immigration sauvage entretenue par les anciennes autorités gabonaises. » Dixit Pr Taba Odounga Didier Commissaire à la sous-commission souveraineté nationale, elle-même logé dans la commission Politique. Il est par ailleurs Vice Président du parti Social-démocrate.

Après la Commission économique et la commission Sociale, qui ont livré le contenu de leur travail en plénières restreintes le mardi et mercredi, le tour est revenu ce jeudi 25 avril 2024 à la très attendue commission Politique de passer au peigne fin leurs travaux.

Pour le commissaire de la sous-commission souveraineté nationale, plusieurs questions importantes ont été traitées par celle-ci à savoir :

– la diplomatie

– l’immigration

– la Nationalité

– les forces de défense et de sécurité.

De ces quatre thématiques le représentant du PSD dans ce dialogue national inclusif va livrer ce qui suit tout en tenant compte que ces propositions ne sont pas définitives.

La Diplomatie

Pour les populations gabonaises le constat est amer car la diplomatie gabonaise a perdu sa verve. Elle évolue aujourd’hui en dents de scie à l’échelle internationale. Alors les commissaires pensent que le déclassement du Gabon ne sera plus possible si et seulement si les résolutions issues de ce dialogue national inclusif sont appliquées par le président de la transition.

« Vous êtes sans ignorer que la diplomatie aujourd’hui implique inéluctablement les enjeux environnementaux pour être crédible vis à vis des partenaires au développement. Il faut donc former et mettre en place des mécanismes susceptibles de redynamiser notre patrimoine diplomatique” a-t-il précisé.

L’immigration

La majorité des Gabonais sont arrivés à la conclusion que les anciennes autorités ont fait l’apologie de l’immigration clandestine au Gabon. La quantité et la qualité des propositions le démontrent. Sur ce point les commissaires ont proposé que cette immigration sauvage soit réglée.

« Il faut que les frères qui arrivent se soumettent aux lois en vigueur. Les frontières doivent être mieux gardées par les forces de défense et de sécurité. » Pense-t-il .

Nationalité

La question sur la nationalité a suscité un grand intérêt au sein de la population gabonaise qui vient de passer quatorze années de gabegie dans ce domaine où l’on pouvait retrouver un néo patriot à des postes très élevés de l’administration. Les commissaires aux dires de Mr Didier TABA ODOUNGA ont essayé ” de monter les digues pour qu’on ne revive plus les mêmes symptômes.

« nous avons proposé que l’étranger qui sollicite la nationalité gabonaise procède au préalable, à la prestation de serment devant les tribunaux et que celui-ci jure de ne pas trahir les valeurs de notre société” a expliqué notre interlocuteur.

Les forces de défense et de sécurité.

Sur ce point il en ressort que les gabonais se sentent un peu coupés de leur force de défense. Il faut dire que les événements de ces dernières années n’ont pas favorisé une certaine complicité entre le peuple et son armée ce qui est très grave. La transition militaire aidant, notre interlocuteur pense que les choses peuvent changer dès lors que l’éthique et la morale du personnel des forces défense et de sécurité surpassent les mauvaises habitudes qu’ils ont acquises ces dernières années. Mieux qu’une enquête de moralité municieuse soit menée lors des recrutements. Quelles soient équipées des moyens matériels et humains afin d’atteindre des objectifs  escomptés.

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Le Bâtonnier du Gabon, Raymond Obame Sima, à répondu à l’invitation de son homologue et confrère, le Bâtonnier Alban Pousset-Bougère, accompagné d’une forte délégation. Étais présent le consul Honoraire du Gabon et Avocat Me Jean Christophe Bessy. Cette rencontre marquait les 30 ans du jumelage entre les Barreaux de Lyon et du Gabon, scellé par une convention de collaboration en 1994. C’était l’occasion idéale pour revisiter cette coopération et relancer les activités qui semblaient s’être quelque peu estompées au fil du temps.

Au cœur des échanges se trouvaient plusieurs points cruciaux, dont la formation initiale et continue des jeunes avocats, ainsi que l’assistance administrative et scientifique pour la mise en place de l’école des avocats du Gabon. Ces sujets ont suscité des discussions enrichissantes et ont permis de tracer des pistes concrètes pour renforcer les liens entre les deux institutions.

Un aspect important abordé lors de cette rencontre a été la question de la mise en place d’une Caisse de maniements des fonds de garantie pour chaque Barreau, sur le modèle de la CARPA (Caisse des Règlements Pécuniaires des Avocats). Le Bâtonnier du Gabon a souligné les avantages d’une telle structure pour consolider l’indépendance du Barreau du Gabon et garantir la protection de ses membres. Le Conseil de l’Ordre Lyonnais s’est montré favorable à soutenir cette initiative et à accompagner le Conseil de l’Ordre du Gabon dans sa mise en œuvre.

Une autre avancée significative a été l’engagement du Barreau de Lyon à soutenir la nouvelle Bibliothèque Marlyse Issembe, récemment inaugurée au Gabon. En mettant à disposition sa bibliothèque virtuelle, le Barreau de Lyon offre un accès privilégié à une mine d’informations juridiques pour les avocats gabonais, renforçant ainsi les capacités professionnelles et académiques de la communauté juridique gabonaise.

À l’issue de cette séance de travail fructueuse, le Bâtonnier Raymond Obame Sima s’est exprimé avec satisfaction, soulignant l’importance de ces échanges pour le Barreau du Gabon. Il a salué l’engagement et la volonté de collaboration manifestés par le Barreau de Lyon, et a exprimé sa confiance dans le renforcement des liens entre les deux institutions dans les années à venir.

Cette rencontre entre les Barreaux de Lyon et du Gabon marque un nouveau chapitre dans leur partenariat, mettant en lumière les opportunités de collaboration et d’échange mutuel. Elle témoigne de l’importance de la coopération internationale dans le domaine juridique, et de la volonté commune de promouvoir les valeurs d’indépendance, d’équité et de justice dans le monde entier.

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Dans une ambiance festive et empreinte d’émotion, la mairie du Bonheur, également connue sous le nom de mairie du 4ème arrondissement de Libreville, a accueilli le Jeudi 18 avril 2024 une cérémonie solennelle de remise d’attestations de parchemin de formation. Cet événement, parrainé par le Délégué Spécial du 4ème Arrondissement, Axel Jesson Ayenooue, a célébré le succès des jeunes lauréats du cabinet Vision Service Gabon et leur a donné l’impulsion nécessaire pour poursuivre leur développement professionnel.

Un hommage à la qualité de la formation et à l’implication des acteurs

La cérémonie a débuté par le discours du Directeur Général de Vision Service Gabon, Prosper Leyeme Mbeda. Dans une allocution pleine d’enthousiasme, il a félicité les lauréats pour leur persévérance et leur engagement tout au long de la formation. Il a également souligné l’importance de la qualité de la formation dispensée par son cabinet, qui s’appuie sur l’expertise de professionnels expérimentés et sur une pédagogie innovante.

Promotion du Bonheur et reconnaissance du travail du Délégué Spécial

La représentante de la promotion, prenant la parole à son tour, a exprimé sa profonde gratitude envers le cabinet Vision Service Gabon pour la qualité de la formation reçue. Elle a également tenu à saluer le travail remarquable du Délégué Spécial Axel Jesson Ayenooue, qui œuvre sans relâche pour le bien-être des populations du 4ème arrondissement et de l’ensemble de Libreville.

Engagement et disponibilité du Délégué Spécial pour la jeunesse.

Le Délégué Spécial Axel Jesson Ayenooue, visiblement ému par l’enthousiasme des lauréats, a prononcé un discours inspirant. Il a réaffirmé son engagement indéfectible à soutenir la jeunesse du 4ème arrondissement et du reste de Libreville. « Je suis le maire du peuple », a-t-il déclaré avec conviction, « et je reste toujours disponible pour répondre aux sollicitations des jeunes et les accompagner dans leur développement personnel et professionnel. »

Vision Service Gabon : Un partenaire incontournable de la formation professionnelle

Le cabinet Vision Service Gabon s’affirme comme un acteur incontournable de la formation professionnelle au Gabon. Grâce à son expertise et à son engagement, il contribue à l’émergence d’une jeunesse qualifiée et prête à relever les défis du développement national.

En conclusion, la cérémonie de remise d’attestations de formation à la mairie du Bonheur a été un véritable succès. Elle a permis de célébrer la réussite des jeunes lauréats, de mettre en lumière l’importance de la formation professionnelle et de réaffirmer l’engagement des autorités gabonaises à soutenir la jeunesse.

En plus des points susmentionnés, l’article pourrait également aborder les sujets suivants :

Les témoignages des lauréats sur leur expérience de formation.

Les perspectives d’avenir des lauréats.

Les défis de la formation professionnelle au Gabon.

Le rôle des pouvoirs publics dans la promotion de la formation professionnelle.

L’article pourrait également inclure des photos de la cérémonie.

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Libreville le 23 avril 2024 Globe Infos. Avec le jugement rendu ce Lundi 22 avril 2024 par le Tribunal correctionnel de Paris en faveur de la fille aînée du défunt président gabonais Omar Bongo Ondimba, c’est une autre page de l’affaire sur les « Biens Mal Acquis » qui, désormais, se tourne. Et, qui démontre un sinueux montage pour écorner davantage l’image de la descendance du défunt président gabonais.

En effet, Pascaline Mferry Bongo Ondimba qui a toujours clamé son innocence pour des faits de corruption dans l’affaire dite « Biens Mal Acquis » à simplement été relaxée par la justice française à l’issue d’un procès au tribunal correctionnel de Paris en France.

La fille aînée d’Omar Bongo Ondimba qui comparaissait avec ses prétendus coaccusés, était soupçonnée d’avoir accepté d’intervenir en faveur « d’Egis Route » dans l’attribution de marchés publics, contre la promesse de 8 millions d’euros de rétro commissions. Une victoire certaine pour la fratrie Omar Bongo Ondimba soumise depuis le décès du patriarche à la pression exercée par certains réseaux et lobbies franco français.

Dont l’objectif visé est l’extinction politique, économique et sociale de la fratrie. Que cacherait l’acharnement dont serait victime la descendance de l’ancien président depuis plus d’une décennie ? Les avocats de Pascaline Mferry Bongo Ondimba ont toujours demandé l’annulation d’un procès considéré comme une odieuse machination.

Selon des sources judiciaires françaises, aucun élément probant n’a démontré une intervention en ce sens et, surtout que, l’infraction de trafic d’influence d’agent public étranger n’existait pas au moment des faits. Le tribunal de Paris a fait « une juste appréciation de la situation et dépassé les raisons d’opportunités » qui avait conduit le parquet à la renvoyer devant le Parquet correctionnel. « Une victoire du droit » a plaidé à la sortie d’audience l’avocate de Pascaline Mferry Bongo Ondimba.

Dans le délibéré de ce Lundi 22 avril 2024, tout indique que les fonctions de Haute Représente Personnel du Président de la République qu’occupaient Pascaline Mferry Bongo Ondimba n’avait pas de faculté d’attribuer le marché, et que, tout au plus, ses fonctions et sa proximité fraternelle reelle ou supposée avec le président de la République auraient pu lui permettre d’user d’une quelconque influence. Thierry Mocktar

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Libreville, le 23 avril 2024 – Me Raymond OBAME SIMA , Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Gabon (OAG) accompagné de son confrère Me Aymerie BHONGO MAVOUNGOU , a effectué une visite de travail fructueuse au Barreau de Paris ce lundi 22 avril 2024. Accueilli par son homologue, Me Pierre Hoffman, Bâtonnier du Barreau de Paris, Me OBAME SIMA accompagne de Me Aymerie BHONGO MAVOUNGOU a saisi cette occasion pour réaffirmer l’engagement de l’Ordre des Avocats du Gabon (OAG), à renforcer les liens de coopération entre les deux institutions.

Revisiter la convention de coopération

Au cœur des discussions, la révision de la convention de coopération signée il y a plusieurs années entre les deux Barreaux. Cette convention vise à promouvoir les échanges et la collaboration entre les avocats gabonais et français dans divers domaines, notamment la formation continue, la déontologie et l’accès à la justice.

Soutien à la création de l’école des avocats du Gabon

Me OBAME SIMA a sollicité l’expertise du Barreau de Paris dans la mise en place de l’école des avocats du Gabon, un projet ambitieux qui vise à professionnaliser davantage la formation des futurs avocats gabonais. Le Bâtonnier de Paris a exprimé son soutien à cette initiative et a proposé l’assistance technique du Barreau de Paris dans la conception et le fonctionnement de cette école.

Formation continue et sécurité sociale

La question de la formation continue des avocats a également été abordée. Le Barreau de Paris a réaffirmé son engagement à contribuer à la formation des avocats gabonais, en proposant des formations spécialisées et des séminaires de perfectionnement.

Sur le plan social, Me OBAME SIMA a évoqué la nécessité de mettre en place un système de sécurité sociale pour les avocats gabonais. Le Bâtonnier de Paris a indiqué que le Barreau de Paris était prêt à partager son expérience en matière de sécurité sociale des avocats et à mandater une équipe d’experts pour proposer un modèle adapté au contexte gabonais.

Signature d’un avenant à la convention de partenariat

Pour concrétiser les engagements pris lors de cette rencontre, les deux Bâtonniers ont convenu de signer un avenant à la convention de partenariat. Cet avenant permettra notamment à la Bibliothèque Marlyse Issembe, récemment inaugurée au sein de l’Ordre des Avocats du Gabon (OAG), de bénéficier d’un abonnement en ligne à la Grande Bibliothèque française du Droit. Cette initiative permettra aux avocats gabonais d’accéder à une riche documentation juridique française.

Une collaboration renforcée pour un avenir prometteur

La visite de Me OBAME SIMA au Barreau de Paris a été un franc succès. Les échanges fructueux entre les deux Bâtonniers ont permis de renforcer la coopération entre les deux institutions et d’ouvrir la voie à de nouveaux projets prometteurs pour l’avenir des avocats gabonais et français.

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