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Élections cumulées du 27 septembre : Le mot d’ordre du ministre face aux populations du 2ème arrondissement

Par Piaco la plume.

Oyem, le 24 septembre 2025. À quelques jours des élections législatives du 27 septembre, Oyem devient l’un des épicentres politiques du Gabon. Dans le premier arrondissement, Sosthène Nguéma Nguéma, candidat de l’Union Démocratique des Bâtisseurs (UDB), s’impose comme un acteur clé de la nouvelle dynamique institutionnelle. Porte-voix d’une vision de proximité et de réforme, il incarne un leadership en phase avec la 5ème République et répond aux attentes d’une population en quête de confiance et de renouveau démocratique.

Un tournant électoral majeur

À Oyem, l’heure n’est plus aux promesses, mais aux choix décisifs. Le 27 septembre, les électeurs du premier arrondissement se rendront aux urnes pour un scrutin qui dépasse les frontières locales. Cette élection, inscrite dans le cadre fondateur de la 5ème République, résonne comme une étape charnière : celle où les territoires participent directement à l’écriture d’une gouvernance nouvelle.

Dans ce contexte, le nom de Sosthène Nguéma Nguéma s’impose avec force. Plus qu’un candidat, il apparaît comme un trait d’union entre la vision nationale du Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguéma, et les aspirations profondes des populations du Nord. Son leadership ne se décrète pas : il se construit au contact du terrain, dans l’écoute et la proximité.

Une incarnation du pacte de confiance

Les campagnes électorales sont souvent des instants de promesses rapides. Celle menée par S2N s’inscrit dans un autre registre : rappeler aux populations d’Oyem qu’elles ont déjà tissé un pacte de confiance avec l’un des leurs, désormais Chef de l’État. Le prolonger, c’est renforcer la légitimité d’un projet politique centré sur la responsabilité et l’inclusivité.

En homme de terrain, le candidat de l’UDB a su traduire cette ambition en une parole claire et accessible. Sa force est d’incarner à la fois l’exigence d’une gouvernance moderne et le lien affectif avec des électeurs qui voient en lui non seulement un acteur politique, mais aussi un frère, un fils, un père.

Un scrutin aux allures de test national

Le vote d’Oyem ne se limitera pas à désigner un député. Il constituera un baromètre politique pour la jeune République.

Valider une légitimité élargie, fondée sur l’adhésion populaire.

Créer les conditions d’une action parlementaire efficace, capable d’adopter des lois structurantes.

Envoyer un signal fort : celui d’un Nord pleinement associé à l’œuvre de refondation nationale.

Sosthène Nguéma Nguéma apparaît dès lors comme une figure clé. Son élection ne serait pas simplement locale : elle s’inscrirait dans un mouvement global visant à stabiliser et renforcer la nouvelle architecture institutionnelle.

Un leadership qui s’affirme

Dans la 5ème République naissante, le leadership ne se mesure plus uniquement au poids des discours, mais à la capacité de fédérer et de convaincre. Sur ce terrain, S2N a marqué des points. Son approche rythmée de la campagne, son sens de l’écoute et sa fidélité au projet du Chef de l’État le distinguent comme l’un des visages émergents d’une génération politique appelée à consolider les fondations de la transition.

Une page à écrire ensemble

Le 27 septembre, en glissant leur bulletin dans l’urne, les électeurs du premier arrondissement d’Oyem auront un rôle majeur à jouer. Ils ne choisiront pas seulement un député : ils décideront si leur ville se positionne comme fer de lance d’une République réinventée.

En Sosthène Nguéma Nguéma, beaucoup voient déjà un guide pour ce moment. Un leadership sobre, enraciné et assumé. À l’heure où le Gabon se redéfinit, Oyem s’apprête à montrer que les territoires du Nord ne sont pas seulement spectateurs de la réforme, mais bien ses artisans.

Car au-delà d’un homme et d’un siège, c’est la crédibilité d’une République naissante qui se joue dans les urnes d’Oyem.