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Diplomatie et Leadership : la présence remarquée de Camélia Ntoutoume Leclercq au dîner d’État à Libreville

PAR Piaco la plume de Globe infos.

Dans les salons feutrés de la Présidence gabonaise, où se mêlaient protocoles millimétrés, éclats de cristal et chaleur d’un tête-à-tête diplomatique rare, Camélia Ntoutoume Leclercq a fait une apparition remarquée. Députée du 1ᵉʳ arrondissement de la Commune de Ntoum, figure montante de la scène politique nationale, elle était conviée au dîner d’État offert par le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, à son homologue en visite officielle.

Un parcours international qui s’invite au protocole d’État

Ce soir-là, la présence de Camélia Ntoutoume Leclercq n’avait rien d’anodin.
Ancienne Présidente de la Confédération mondiale des anciens élèves de l’ENA, structure tentaculaire qui relie plus de 134 pays, et Ambassadrice JFD, elle incarne cette génération de responsables africains capables de naviguer entre ancrage local et influence globale.
Son engagement au sein de la JFD où le Prix Margaret est placé sous le haut parrainage du Président français Emmanuel Macron, ajoute à son profil une dimension internationale assumée.

Une stature qui, dans les couloirs feutrés du pouvoir gabonais, n’est jamais ignorée.

Emmanuel Macron et Camelia Ntoutoume Leclercq

Un dîner où diplomatie et leadership féminin se croisent

Autour de la table, les conversations ont rapidement dépassé les politesses d’usage.
L’élue de Ntoum a pris part à des échanges nourris, marqués par une volonté partagée de coopération, de transmission et d’ouverture. À Jeune Afrique, plusieurs convives confient que Camélia Ntoutoume Leclercq a su apporter « une vision précise et structurée » sur les enjeux de gouvernance, d’éducation et d’innovation, ses terrains de prédilection.

Dans une soirée où chaque mot compte, elle a navigué avec la même aisance entre diplomates, chefs d’État et figures institutionnelles.

Humilité et gratitude pour un moment rare

À l’issue de la soirée, la parlementaire gabonaise a tenu à saluer l’élégance protocolaire du moment :
« Infiniment merci, Messieurs les Présidents », a-t-elle déclaré, rappelant l’honneur que représente une telle invitation.

Une reconnaissance exprimée avec la sobriété qu’on lui connaît, mais qui souligne aussi l’importance que revêtent pour elle ces espaces d’échanges, où l’image du Gabon, mais aussi celle de ses territoires, se jouent parfois en quelques instants.