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Législatives du 27 septembre : Sosthène Nguema Nguema prône inclusivité, rassemblement et objectivité

PAR Piaco la plume.

À quelques jours du scrutin législatif, le candidat Sosthène Nguema Nguema, figure politique du premier arrondissement d’Oyem, place sa campagne sous le sceau de l’inclusivité, du rassemblement et de l’objectivité. Un triptyque qui traduit sa volonté de bâtir un pacte de confiance solide avec les électeurs et d’inscrire son action dans une dynamique d’unité et de responsabilité.

Ce 22 septembre, Methui-village, haut lieu de mémoire politique, a accueilli une étape décisive de la campagne de Sosthène Nguema Nguema. Entre l’évocation de l’héritage laissé par l’ancien maire Vincent Essone Mengue M’Atome et l’annonce d’une vision tournée vers l’inclusion et la modernité, le candidat a placé sa démarche sous le signe d’un renouveau attendu.

L’ombre tutélaire d’un héritage

En effet comme par tout où il est passé, le discours est resté le même. Son triptyque (inclusivite, rassemblement et Objectivité) à à cela s’ajoute le pacte de confiance pris avec le chef de l’État Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA pour le développement de la province du Woleu Ntem en général et le premier arrondissement de la commune d’oyem en particulier. À Methui-village, le souvenir du maire charismatique Vincent Essone Mengue M’Atome n’est pas un simple rappel du passé. Il incarne un idéal politique : celui d’un engagement désintéressé au service de la dignité populaire. Sa disparition a laissé un vide, mais aussi un héritage que ses proches décrivent comme un appel permanent au réveil citoyen. Ce 22 septembre, cet héritage est devenu une force symbolique, un socle sur lequel Sosthène Nguema Nguema a choisi d’ériger son discours.

La rhétorique de la rupture

Porté par la ferveur de ses partisans, le candidat a livré une allocution structurée autour de trois maîtres-mots : inclusion, transparence et pragmatisme. « Le leadership ne s’invente pas. À défaut d’être inné, il se construit avec les siens », a-t-il martelé, promettant que le 27 septembre prochain marquera la fin du « laxisme, du mensonge et de la gabegie ». Le ton, volontiers martial, se voulait aussi rassurant : celui d’un homme qui aspire à transformer la défiance en confiance et l’attente en action.

De la mémoire à la projection

Si l’hommage à Essone Mengue M’Atome a constitué la toile de fond, c’est bien l’avenir qui a occupé le devant de la scène. Avec la #TeamS2N, son mouvement de soutien, Sosthène Nguema Nguema revendique l’ambition de redorer l’image du peuple Oyemois en général, et celle du premier arrondissement en particulier. Il assume un parallèle audacieux : faire de cette localité un laboratoire de transformation « à la manière de Dubaï », entre modernité assumée et réalisme social.

Un moment charnière

À quelques jours d’un scrutin qui s’annonce décisif, la campagne prend ainsi des allures de bascule. Le message de Sosthène Nguema Nguema en bon leader, s’adresse autant aux électeurs de Methui-village qu’à l’ensemble d’un corps citoyen en quête de nouveaux repères. Derrière l’émotion, une conviction : le temps est venu d’un sursaut collectif où la politique redevient l’affaire du peuple.

Entre héritage et avenir

La journée du 22 septembre restera donc comme un moment charnière : celui où mémoire et projet se sont rencontrés pour donner corps à une promesse de rupture. Reste à savoir si, dans l’intimité des urnes, cette promesse saura franchir les frontières de Methui-village pour s’inscrire dans une réalité politique tangible.